L’année 2014 sera américaine pour le rosé de Provence. Les États-Unis tirent les exportations et confortent leur place de premier client à l’étranger. Sur le marché français, les prix continuent de grimper.
La bataille au cœur du TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership) est, pour les producteurs de vin, celle de la notion d’origine. Pour l’industrie et le commerce du vin, elle concerne également les freins administratifs.
Nouveauté de l'édition 2014 de Vinexpo Asia-Pacific, le China Wine Forum réunissait un panel de quatre experts : Don St-Pierre Jr, fondateur de l'importateur ASC Fine Wines, Judy Chan, propriétaire du vignoble Grace Vineyard, Dixon Yuan, président de YesMyWine, plate-forme de distribution en ligne, et Simon Tam, chef du département vin pour la Chine de Christie's. Recueil de leurs analyses sur l'avenir du vin en Chine.
Avec un succès mondial sanctionné par un prix qui passe de 166 €/hl à 193 €/hl en moyenne cette année, voire des échanges conséquents à 250 €/hl aux dires de certains courtiers, le rosé de Provence voit muter ses acteurs commerciaux. Mais qui sont-ils ? La réponse est simple dans les grandes lignes, mais plus complexe dans le détail tant les métiers s'interpénètrent en Provence.
Victoire pour le CIVP ! Une récente étude révèle que, depuis 2013, tous les cavistes new-yorkais, sans exception, proposent du rosé de Provence dans leurs linéaires. Le produit phare de l'appellation développe aussi sa présence dans la restauration américaine haut de gamme.