La fin de l'emballement chinois a dévoilé un marché fragile, reposant sur un pilier précaire, celui des achats gouvernementaux et des cadeaux, remis en cause par la politique d'austérité des autorités. Chacun se lance désormais à l'assaut du « marché réel », celui des consommateurs qui achètent et boivent le vin. Une quête de longue haleine.
